Des révélations surprenantes de la part de Neil Jordan #
Jordan prétend que FitzGerald aurait exigé une rémunération de la part de Warner Bros. pour avoir rédigé une tribune défendant le film « Michael Collins ».
Cette révélation a été faite publique grâce à un article du Guardian, où Jordan partage des détails de leur conversation après la publication de l’article de FitzGerald dans l’Irish Times en 1996. Selon Jordan, FitzGerald lui aurait dit qu’il devait « envoyer une facture à Warner Bros. », insinuant ainsi qu’il attendait un paiement pour son soutien public au film.
Le contexte de la défense du film #
Le film « Michael Collins », réalisé par Neil Jordan et sorti en 1996, met en scène Liam Neeson dans le rôle de Michael Collins, leader révolutionnaire irlandais du début du XXe siècle. Le film a suscité des critiques en Irlande, surtout parmi les historiens et politiciens qui pointaient du doigt les libertés prises avec les évènements historiques.
En réponse à ces critiques, Garret FitzGerald avait rédigé un éditorial louant le film comme « un triomphe » et affirmant qu’il incarnait l’esprit de l’époque. Cet article avait été perçu comme un soutien majeur envers Jordan et son œuvre, malgré les controverses historiques soulevées.
La réaction de la famille FitzGerald #
Face à ces allégations, la famille de FitzGerald a rapidement réagi pour défendre l’intégrité de l’ancien Premier ministre. Son fils, Mark FitzGerald, a déclaré au Guardian que son père n’aurait jamais agi de la sorte, soulignant son humilité et son intégrité, tant dans sa vie publique que privée.
Il a fermement rejeté l’idée que son père ait pu demander une rémunération pour ses écrits ou son soutien, insistant sur le fait que l’éthique de Garret FitzGerald ne lui aurait jamais permis de telles actions.
Voici quelques points principaux à retenir de cette affaire :
À lire Kristen Wiig et Bill Murray au casting de la comédie ‘Epiphany’
- Neil Jordan affirme que Garret FitzGerald a demandé à être payé par Warner Bros. pour un éditorial.
- L’article de FitzGerald était en réponse à des critiques historiques du film « Michael Collins ».
- La famille FitzGerald défend l’intégrité et la réputation de Garret, affirmant qu’il n’aurait jamais requis de paiement pour de telles contributions.
Cette histoire soulève des questions importantes sur l’intersection de la politique, de l’histoire et du cinéma, et sur la façon dont les figures publiques interagissent avec l’industrie du divertissement. Elle nous rappelle aussi que derrière chaque film, il y a un ensemble complexe de relations et d’interactions, souvent invisibles au grand public.
Incroyable, si ça s’avère vrai, ça change complètement ma vision de FitzGerald! 😮